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Rien ne sert de courir…

… à moins de vouloir s’afficher avec l’une des 13 000 médailles réalisées par Adam pour les finishers du semi-marathon de Bordeaux ! Une collaboration initiée en 2023 et qui, pour cette deuxième édition, s’est accompagnée d’une démarche plus large autour de la réduction de l’impact environnemental de l’évènement. Pour Adam, une nouvelle opportunité de mouiller le maillot aux côtés de Bordeaux Athlé, l’association organisatrice de la course. 

Made in Médoc
À l’occasion de la 1re édition du semi-marathon, Bordeaux Athlé s’était tournée vers Adam pour réaliser 10 000 exemplaires d’une médaille éco-conçue. En 2024, on prend (presque) les mêmes et on recommence : cette fois, ce sont 13 000 récompenses qui sont conçues, usinées et sérigraphiées par Adam à partir de chutes de pin maritime. Les participants des deux éditions de la course auront tout de même noté que la version 2024, carrée, s’affichait en couleur (une face bleue, assortie au maillot de l’édition). Autre nouveauté : c’est Adam qui a dessiné et réalisé les trophées récompensant les deux vainqueurs de la course, catégories « femme » et « homme ». Toujours en pin maritime, les deux prix figurent un arc symbolisant la courbe de la Garonne, sérigraphiée en arrière-plan. Plus foncée, la partie droite du trophée laisse apparaître le chiffre « 1 » de la et du vainqueur. Des réalisations qui font des émules puisqu’Adam a été sollicité par d’autres organisateurs sportifs.

200 t de CO2
« Bordeaux Athlé et notamment Caroline Pujol, sa présidente et Marion Lotout, « cheville ouvrière » de l’opération, affichent une véritable volonté de limiter l’impact environnemental de l’évènement », souligne Jean-Charles Rinn, dirigeant d’Adam, qui poursuit : « En 2024, ils souhaitaient pousser d’avantage la réflexion. Nous leur avons proposé de financer une étude d’impact. » La mission est confiée à Laurent Castaignède, ingénieur bordelais responsable du cabinet d’études BCO2 Ingénierie, qui accompagne par ailleurs Adam. Déplacements, ravitaillement, sponsoring et packs coureurs… la 1re édition a ainsi émis environ 200 tonnes de CO2. Un bilan que l’association organisatrice a pu restituer la veille de la course au public bordelais et espère, bien entendu, améliorer à chaque nouvelle édition, en activant des leviers d’ores et déjà identifiés : attirer des coureurs ayant une origine géographique proche, encourager des séjours longs, privilégier les transports en communs et sélectionner des sponsors responsables. L’enjeu est simple : progresser pour continuer de faire de ce rassemblement sportif un évènement local, populaire et engagé dans la transition écologique. À l’image des valeurs que partagent Bordeaux Athlé et Adam. 

 

Une célébration sans effet de manche

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