Petit retour en arrière. Pour son traditionnel évènement de fin d’année, Adam avait décidé de convier à la table des festivités 3 associations locales. Au menu : des ateliers partagés entre salariés volontaires et bénévoles associatifs pour fabriquer ensemble des objets utiles à ces derniers. Une journée organisée pour concrétiser la thématique « Faire ensemble sur le territoire » du Fonds Adam pour des Initiatives Responsables et Écologiques et planter les 1^res graines du mécénat de compétences…

En 2024, par l’intermédiaire de la fondation actionnaire F.A.I.R.E., le dispositif de mécénat de compétences est mis sur pied : il ouvre la possibilité aux salariés volontaires de s’impliquer sur leur temps de travail dans des associations du territoire à hauteur de 4 jours par an. « Pour rendre concrète l’opportunité et la valoriser auprès des équipes, nous avons décidé de la proposer à l’occasion de la journée conviviale de fin d’année, le 19 décembre », indique Justine Geneste, responsable RSE – développement territorial. 

F.A.I.R.E. tomber les barrières
Proposition est donc faite aux salariés qui le souhaitaient de participer à un atelier en compagnie d’une association parmi les 3 présentes : l’éco et tiers-lieu Louley, Rose Médoc et Les Grès Médocains. « Ces associations du territoire ont été sélectionnées dans le cadre de notre collaboration avec Médoc Tiers Lieu et de son incubateur ESSpairs », précise la responsable RSE . Au total, une vingtaine de collaborateurs se sont retrouvés avec les bénévoles associatifs pour réaliser un objet, en bois évidemment, propice à chaque projet : des nichoirs pour l’éco-lieu Louley, des modules de rangement pour l’aménagement du futur atelier-cuisine de Rose Médoc, et un meuble de présentation pour les œuvres des Grès Médocains. Après 3 heures passées côte-à-côte, chacun a pu faire part de son ressenti : « Le bilan est très positif ! Les associations ont pu profiter du parc machines dans un cadre sécurisé et bénéficier du savoir-faire des salariés pour qui cette journée a fait tomber les barrières. On a senti une envie de participer à d’autres ateliers de ce type. Petit à petit, la dynamique se met en route », se réjouit Justine Geneste. Les graines sont plantées, il ne reste plus qu’à F.A.I.R.E.