Au 17e siècle, un “enfant de la balle” désignait le fils du maître du jeu de paume et, par extension, la personne exerçant le même métier que ses parents. Ici, au Domaine de Laballe, avec la famille Laudet à la tête, on est vignerons de père en fils depuis 1820. Aujourd’hui, Cyril et Julie Laudet, 8e génération, s’engagent pour une viticulture durable… et demandent à Adam de concevoir le coffret magnum pour leur armagnac.
Laballe est dans leur camp
Laballe, c’est l’histoire de la famille Laudet depuis 1820. C’est aussi un terroir atypique, « Les Sables Fauves », une terre d’exception du Bas-Armagnac landais. Aux côtés des vins produits, il y a toujours l’armagnac, l’âme du domaine. L’arrivée, en 2007, de la 8e génération marque une nouvelle étape. « Après un temps de restructuration du vignoble, nous souhaitions redynamiser le domaine et faire bouger l’image de l’armagnac », nous explique Julie Laudet. « Nous nous sommes engagés pour une viticulture durable avec la plantation de cépages résistants, tels le Baco, et la mise en place de l’agroforesterie. L’ensemble du domaine est également en bio depuis un an. »
Adam saisit Laballe au bond
Adam apprécie la collaboration avec une telle propriété au savoir-faire ancestral et respectueuse de l’environnement. A la demande du domaine, Adam accompagne la refonte de l’identité avec la réalisation d’un nouveau coffret magnum. Un coffret « classique » en pin radiata avec glissière recouvrante et un marquage feu sur le dessus pour le nouveau logo. Un coffret un peu spécial dans lequel on doit pouvoir insérer deux formes différentes de bouteilles (Résistance et Exode XIV), des millésimes en pot gascon, un contenant classique de l’armagnac.
Pourquoi Laballe a choisi Adam ? « Parce que nous sommes sensibles à leur démarche, leur savoir-faire, le souci du détail avec lequel ils travaillent, un peu comme dans l’artisanat. Leurs coffrets sont bien pensés et bien réalisés. Cette collaboration a du sens pour nous », répond Julie Laudet.